Courrier de nos Camarades de la FGTB

Aux occupants de l’immeuble situé à
1000 Bruxelles, rue Watteeu 2-8

bruxelles, le 24 novembre 2011
Notre réf: FG/PM/KPwatt/11-203

Cher,

Immeuble situé rue Watteeu 2-8 à 1000 Bruxelles

Notre association est propriétaire de l’immeuble situé à 1000 Bruxelles, rue Watteeu 2-8, que vous avez squatté et que vous occuper sans la moindre autorisation. Cet immeuble à été libéré en préparation de la réalisation de travaux de construction suite à l’obtention d’un permis d’urbanisme, dont les travaux débuteront dans les jours prochains.

Aujourd’hui le représentant de notre association a tenté en vain de démarrer un dialogue avec vous, mais il n’a même pas pu accéder au bâtiment. Ceci est autant plus regrettable que notre association, et par extension la FGTB toute entière, partage le souci au sujet de la problématique des bâtiments inoccupés à Bruxelles.
L’occupation de l’immeuble précrité ne constitue cependant pas le moyen adéquat pour ce faire et pose des risques évident en matière de sécurité, tant pour les occupants que pour des tiers.
Par la présente, nous vous prions dès lors avec insistance de mettre un terme à l’occupation unilatérale et illégale du bâtiment endéans les 72 heures et de libérer entièrement l’immeuble.

Au nom du conseil d’administration

Alain Cauwelaert
Président ASBL Floreal-Germinal

 

LIRE LA REPONSE DU MINISTRE DE L’AGITATION

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One Response to Courrier de nos Camarades de la FGTB

  1. Anonyme says:

    En Belgique, les syndicats détiennent le monopole de la contestation sociale. Ils ne voudraient surtout pas voir leur position vaciller. Il est pourtant de plus en plus urgent de se défaire de leur emprise !
    La paix sociale (signée entre syndicats, patrons et gouvernants) n’a que trop duré ! La FGTB paye ses permanents à imprimer de jolis flyers en couleur, à produire des journaux fades et ennuyeux, à glander sur facebook, à limiter la casse lors des restructurations, à s’inquiéter poliment de la venue prochaine de l’austérité…
    Ne nous satisfaisons plus de cette mollesse !

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